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Léa-Sarah Goldstein, journaliste, collabore à "la chaîne Energie".Léa-Sarah Goldstein a 26 ans. Après une classe préparatoire de Lettres Supérieures au Lycée Paul Valéry de Paris, puis,...
Des éoliennes au patrimoine national norvégien ?
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vendredi 05 février 2010
Un parc éolien pourrait-il devenir le symbole d'un pays? En Norvège, les architectes du cabinet On Office n'en doutent pas une seconde. Pire, ils comparent leurs turbines à notre tour Eiffel!
Un cabinet d’architectes voudrait développer le tourisme des côtes norvégiennes de Stavanger en créant une ville, constituée d’un hôtel chic, d’un établissement thermal, de quelques maisons et d’un musée, dont l’attrait principal serait son formidable parc éolien ! Appelée Turbine City, cette station balnéaire joindrait l’utile à l’agréable : elle serait indépendante énergétiquement, et surtout, elle permettrait une meilleure acceptation des éoliennes par les populations locales.
Voir la première éolienne flottante (Hywind) mise à l'eau en Norvège sur le site de la BBC
Via Inhabitat et DesignBoom
Une étude du centre de recherche géophysique américain récemment publiée sur Internet renforce l’idée selon laquelle, pour lutter efficacement contre le réchauffement climatique, il faudrait peindre tous les toits en blanc. Cette méthode, qui engendrerait une réflection des rayons du soleil vers le ciel, permettrait, en principe, un refroidissement de la planète. Particulièrement utiles en villes, ou l’asphalte, les toits goudronnés et le manque de grands espaces réchauffent l’atmosphère, cette méthode (qui n’est pas nouvelle) pourrait connaître un nouvel essor. Les chercheurs du centre de recherche géophysique ont en effet mis au point un simulateur, par ordinateur, qui permet de mesurer la quantité de rayons lumineux absorbés et/ou réfléchis par les surfaces urbaines. D’après leurs résultats, si tous les toits d’une ville lambda étaient peints en blanc, la température baisserait automatiquement d’environ 17°C.
En savoir plus, Green Inc (The New York Times)
Les émissions de CO2 ne polluent pas seulement nos rues, elles s'introduisent également chez nous et affectent notre air quotidien. Pour lutter contre la pollution intérieure, le designer français Francis Hurtaud propose une solution naturelle, à faible consommation énergétique : le mur végétal d'intérieur P.01. Véritable "poumon" de votre foyer, ce mur végétal est constitué d'une sélection de plantes choisie pour leurs vertus détoxifiantes, qui grandissent grâce à la lumière prodiguée par de petites lampes LED.
Via Ecofriend et Francis Hurtaud
Vu dans les archives du National Geographic
Le quotidien anglais The Guardian met en ligne, depuis le début de la semaine dernière, des vidéos issues des archives du National Geographic. Toutes axées sur la biodiversité ou les effets du réchauffement climatique, ces vidéos sont édifiantes. A l’heure d’une grande polémique sur les analyses scientifiques du Giec, ces quelques images montées les unes aux autres parlent d'elles-mêmes : non seulement les gaz à effets de serre font bel et bien fondre la glace, mais ils pourraient également déplacer des populations et changer les contours de notre planète…
Voir les vidéos, cliquez ici
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Cette bonne action a un coût assez élevé. Il faut chercher la solution qui convient. Sur les terrasses on peut imaginer des billes blanches en verre lisse. Là encore il faut que la densité soit assez forte pour que le vent ne les soulève pas.