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Desertec : l’Algérie dans la boucle
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vendredi 16 décembre 2011
Le consortium allemand DII (Desertec Industrial Initiative) et la compagnie Sonelgaz ont signé un accord la semaine dernière en vue du déploiement du projet Desertec en Algérie.
Un article de Guillaume Duhamel, Zegreenweb
Un peu plus d'un mois après l'annonce par le consortium allemand DII (Desertec Industrial Initiative) (NDLR : qui regroupe le réassureur Munich Re, la Deutsche Bank et les électriciens E.ON et RWE) du lancement dès l'an prochain au Maroc du faramineux projet Desertec, c'est au tour de l'Algérie d'entrer dans la danse. DII et la compagnie algérienne Sonelgaz ont en effet signé un accord de coopération la semaine dernière à Bruxelles (Belgique).
Celui-ci porte sur des échanges d'expertises techniques, sur la promotion de partenariats industriels et sur une convergence des actions à mener en vue de développer le marché. Il fait par ailleurs suite à d'autres alliances conclues dans un passé récent avec MedGrid (projet d'initiative française de réseau électrique sud-saharien) et Les Énergies Renouvelables, filiale de la compagnie tunisienne du gaz et de l'électricité, et consacre la participation du pays à ce dessein qui, rappelons-le, pourrait s'étendre jusqu'à la Syrie et l'Arabie Saoudite afin de fournir 15 % des besoins en électricité du Vieux Continent d'ici 2050. Évalué à quatre cents milliards d'euros au total (!), déjà appuyé par les pouvoirs publics allemands et l'Observatoire méditerranéen de l'Énergie (OME), à la fois solaire et éolien, il doit en outre générer une économie annuelle de trois millions sept cent mille tonnes de CO2 et par là-même servir concomitamment la lutte contre le réchauffement climatique, qui augure de bouleversements profonds dans le Maghreb.
Vu d'un mauvais oeil par certaines associations de protection de l'environnement pour qui il s'apparente à une forme de « néo-colonialisme vert », il est au contraire synonyme d'un « avenir extrêmement brillant » pour les pays d'Afrique du Nord concernés - la Libye devrait être le prochain sur la liste, sans doute lorsque sa situation politique sera stabilisée - aux dires du PDG de DII Paul Van Son.
« Courant 2011, nous avons eu une réunion avec le ministre (algérien de l'Énergie) Youcef Yousfi, qui a salué notre expérience, nos liens industriels et notre vision générale du développement. Mais il a aussi dit : gardez à l'esprit que l'Algérie veut développer son énergie pour son propre avenir. C'est dans l'esprit de Desertec : nous voulons instaurer une coopération pour accélérer le processus qui amènera l'Algérie à être en mesure d'exporter de l'énergie et de l'électricité en Europe », a-t-il également relaté, rappelant que « les déserts d'Afrique du Nord et du Proche-Orient sont intrinsèquement les réservoirs d'énergie du monde ».
L'Algérie - qui a aussi donné son accord à l'exploitation des gaz de schiste sur son territoire, lequel en abriterait plus de mille milliards de mètres cube - paraît en avoir désormais bien conscience, elle qui, on l'a évoqué, projette de produire 40 % de son électricité à partir de sources renouvelables à l'horizon 2030, s'est déjà engagée à investir pour ce faire quinze milliards d'euros pour la période 2011-2021 et a inauguré cet été dans la région saharienne de Hassi R'Mel le tout premier complexe électrique hybride du pays. Celui-ci est même le tout premier du monde à combiner une matrice de miroirs paraboliques et une centrale à turbines à gaz.
Encore largement tributaire de son gaz naturel, le pays est cependant engagé sur la voie de la transition énergétique. L'entente scellée la semaine dernière en est une preuve supplémentaire.
Crédits photos : flickr - Daniel Lobo / Doug Wertman
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A l'etat actuel des choses le gouvernement a fait une petite erreur en temporisant ou en hesitant a se lancer dans ce domaine.En principe l'Algerie a deja 10 ans d'experience dans ce daomine a titre experiemental.C'est un retard inexplicable vu les niveaux de reserves de petrole et de gaz prouves.
Enfin rien n'est perdu.Il vaut meiux que tard.
Esperant que les entreprises algeriennes vont se donner a fond afin de tirer le maximum d'experience.
En matiere d'energies renouvelables l'Algerie n'a aucun choix que d'exploiter toutes les avenues possibles de cette technologie.
Il n'est exclus de voir ce pays retourner aux centrales Hydro-Electriques la` ou` les conditions naturelles le permettent et de creer des chuttes d'eau artificielles la ou techniquement c'est possible.
Le recours aux solutions hybrides Hydro-electriques / Eoliennes est envisageables pour l'extreme Nord et l'Est algerien.
Presence d'un fort coefficient de vent et de rives cotieres.
Les algeriens doivent exploiter tous ce qui est possible dans ce domaine.
L'Algérie devait se lancer dans ce domaine il y'a 10 ou 15 ans.Il ne s'agit pas de la recherche mais du passage a la phase d’expérimentation et d'exploitation a petite échelle en vue d'une meilleure utilisation a l'échelon industriel et de maximiser le rendement au plus haut niveau de tolérance possible.
A l'état actuel des choses le gouvernement a fait une petite erreur en temporisant ou en hésitant a se lancer dans ce domaine. En principe l'Algérie a déjà 10 ans d'expérience dans ce domaine a titre expérimental. C'est un retard inexplicable vu les niveaux de réserves de pétrole et de gaz prouves.
Enfin rien n'est perdu. Il vaut mieux que tard.
Espérant que les entreprises algériennes vont se donner a fond afin de tirer le maximum d'expérience.
En matière d'énergies renouvelables l'Algérie n'a aucun choix que d'exploiter toutes les avenues possibles de cette technologie.
Il n'est exclus de voir ce pays retourner aux centrales Hydro-Electriques la` ou` les conditions naturelles le permettent et de créer des chutes d'eaux artificielles la` ou` techniquement c'est possible.
Le recours aux solutions hybrides Hydro-electriques / Eoliennes est envisageables pour l'extrême Nord et l'Est algérien.
Présence d'un fort coefficient de vent et de rives côtières.
Les algériens doivent exploiter tous ce qui est possible dans ce domaine.
L'Algérie devait se lancer dans ce domaine il y'a 10 ou 15 ans.Il ne s'agit pas de la recherche mais du passage a la phase d’expérimentation et d'exploitation a petite échelle en vue d'une meilleure utilisation a l'échelon industriel et de maximiser le rendement au plus haut niveau de tolérance possible.
A l'état actuel des choses le gouvernement a fait une petite erreur en temporisant ou en hésitant a se lancer dans ce domaine. En principe l'Algérie a déjà 10 ans d'expérience dans ce domaine a titre expérimental. C'est un retard inexplicable vu les niveaux de réserves de pétrole et de gaz prouves.
Enfin rien n'est perdu. Il vaut mieux que tard.
Espérant que les entreprises algériennes vont se donner a fond afin de tirer le maximum d'expérience.
En matière d'énergies renouvelables l'Algérie n'a aucun choix que d'exploiter toutes les avenues possibles de cette technologie.
Il n'est exclus de voir ce pays retourner aux centrales Hydro-Electriques la` ou` les conditions naturelles le permettent et de créer des chutes d'eaux artificielles la` ou` techniquement c'est possible.
Le recours aux solutions hybrides Hydro-electriques / Eoliennes est envisageables pour l'extrême Nord et l'Est algérien.
Présence d'un fort coefficient de vent et de rives côtières.
Les algériens doivent exploiter tous ce qui est possible dans ce domaine.
L'Algérie devait se lancer dans ce domaine il y'a 10 ou 15 ans.Il ne s'agit pas de la recherche mais du passage a la phase d’expérimentation et d'exploitation a petite échelle en vue d'une meilleure utilisation a l'échelon industriel et de maximiser le rendement au plus haut niveau de tolérance possible.
A l'état actuel des choses le gouvernement a fait une petite erreur en temporisant ou en hésitant a se lancer dans ce domaine. En principe l'Algérie a déjà 10 ans d'expérience dans ce domaine a titre expérimental. C'est un retard inexplicable vu les niveaux de réserves de pétrole et de gaz prouves.
Enfin rien n'est perdu. Il vaut mieux tôt que tard.
Espérant que les entreprises algériennes vont se donner a fond afin de tirer le maximum d'expérience.
En matière d'énergies renouvelables l'Algérie n'a aucun choix que d'exploiter toutes les avenues possibles de cette technologie.
Il n'est exclus pas de voir ce pays retourner aux centrales Hydro-Electriques la` ou` les conditions naturelles le permettent et de créer des chutes d'eaux artificielles la` ou` techniquement c'est possible.
Le recours aux solutions hybrides Hydro-electriques / Eoliennes est envisageable pour l'extrême Nord et l'Est algérien.
Présence d'un fort coefficient de vent et de rives côtières.
Les algériens doivent exploiter tous ce qui est possible dans ce domaine.
PS : Je m’excuse pour les fautes de frappes. Nul n’est parfait.
Il n'est pas exclus de voir ce pays.......
-installer des panneaux solaires
-dessaler l'eau de mer
-produire de la biomasse
Cela peut se faire de partout ou il y a du soleil.
donc a ce jour, elles ne sont pas écologiques et aussi ne justifie pas la destruction de l'environnement et des paysages ...je pense bien évidemment aux tjrs plus hautes éoliennes . ça ne tient pas et c'est trés critiquable avec en sus des prix exorbitants de sorti .
La priorité des priorité est de trouver les moyens de stocker l'énergie a grande échelle .....faute de quoi c'est des nouvelles lignes a trés haute tension de 1 millions de volt que nous allons avoir + tjrs plus de co2 ...tant que nous ne saurons pas stocker l'énergie nous ne faisons que gaspiller argent et énergie pour faire des choses plus intelligentes et durables !
quand aux crédit d'impôts il serait préférable d'en faire moins mais plus important sur deux points : isolation des bâtiments et géothermie verticale .
C'est que du profit pour les pays riches sur le dos des pauvres .... la honte à ces fonds de pension Allemand.